Information
- Pays
- Burkina Faso
- Bureau pays de LuxDev
- Bureau Burkina Faso
- Secteur
- Enseignement de Base et Alphabétisation
- Agence d'exécution partenaire
- Ministère de l’Education nationale et de l’alphabétisation
- PIC 3
- 2017 - 2021
- Période d'exécution
- 4 Mai 2018 - 31 Décembre 2025
- Durée totale
- 92 mois
- Budget total
- 4 223 200 000 EUR
- Répartition des contributions
-
- Gouvernement luxembourgeois
43 200 000 EUR - Contribution nationale
3 990 000 000 EUR - Autres bailleurs
190 000 000 EUR
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20 ans de Coopération luxembourgeoise au Burkina Faso
20ans de Coopération Luxembourgeoise au Burkina Faso
20 ans de Coopération luxembourgeoise au Burkina Faso - Environnement
20 ans de Coopération luxembourgeoise au Burkina Faso - Environnement
20 ans de Coopération luxembourgeoise au Burkina Faso - Formation
20 ans de Coopération luxembourgeoise au Burkina Faso - Formation
20 ans de Coopération luxembourgeoise au Burkina Faso - Technologie
20 ans de Coopération luxembourgeoise au Burkina Faso - Technologie
Notes sectorielles
Le développement du système éducatif burkinabè fait depuis longtemps l’objet de planification de long terme. Si le système éducatif a connu une augmentation non négligeable des effectifs à tous les niveaux d’enseignements au cours des 15 dernières années, améliorant ainsi la couverture scolaire, cette dynamique positive est encore loin de couvrir toute la demande sociale potentielle exprimée à travers la population scolarisable.
Au-delà de la couverture scolaire à améliorer nécessairement, c’est surtout aux problèmes de rétention aux différents niveaux d’enseignements auxquels il faut s’attaquer pour y parvenir. Tenant compte de cette situation et à la faveur de l’élaboration de son nouveau référentiel de développement à savoir le Plan national de développement économique et social (PNDES) sur la période 2016-2020, le Burkina Faso a renouvelé, en juillet 2017, sa planification sectorielle sur la période 2017-2030 avec en perspective, l’atteinte des objectifs de développement durable (ODD) en matière d’éducation et de formation.
L’éducation, l’enseignement technique et la formation professionnelle faisant partie des secteurs de concentration du 3ème Programme indicatif de coopération entre le Grand-Duché de Luxembourg et le Burkina Faso, il a été convenu d’apporter un appui à la mise en œuvre du PSEF sur la période 2018-2020 à travers le BKF/025. Le cadre logique et les objectifs de cet appui sont alignés sur ceux du PSEF. L’appui est articulé autour de deux composantes à savoir :
Une contribution au compte d’affectation spéciale du trésor (CAST) : cette composante vise à appuyer la mise en œuvre des plans d’actions annuels du ministère de l’Education nationale et de l’Alphabétisation (MENA) sur base des politiques et orientations stratégiques du PSEF et, selon les modalités de décaissement définies dans le Protocole de financement commun signé entre le gouvernement du Burkina Faso et les partenaires techniques et financiers (PTF) du CAST. Le CAST en tant que modalité de financement de l’éducation est une réponse concrète aux engagements de la Déclaration de Paris sur l’alignement et l’efficacité de l’aide. Il est intégré dans la loi de finances sous la forme d’un budget en recettes et dépenses isolé du budget général. Au-delà des modalités d’allocation des ressources financières, le fonctionnement du CAST promeut également l’approche sectorielle auprès du MENA et des PTF en favorisant un dialogue politique et technique sur les thématiques sectorielles essentielles et le suivi des performances du secteur.
L’appui au renforcement des capacités : il s’agit d’un appui à la gestion du secteur de l’éducation et de la formation par les technologies de l’information et de la communication. Il vise l’amélioration de la gestion des ressources humaines et contribuera également à améliorer le suivi de l’évolution du cursus scolaire de chaque élève dans tous les cycles à travers un identifiant unique, ainsi que l’amélioration de la qualité des statistiques scolaires. A terme, l’objectif est de disposer d’une plateforme intégrée de suivi du cursus scolaire des élèves, de la gestion du personnel et des statistiques scolaires afin d'améliorer la qualité des processus de traitement des informations tout en évitant les erreurs humaines et d'obtenir des gains en termes de temps et de ressources financières.
La mise en œuvre du BKF/025 ne fait pas l’objet d’un dispositif spécifique de gestion. En termes de coordination, il s’agit de s’aligner sur le dispositif existant au niveau national. Pour cela, la Coopération luxembourgeoise participera de façon active aux instances de pilotage et de suivi de la mise en œuvre du PSEF.
Il s’agit principalement :
- du cadre sectoriel de dialogue qui est l’organe de suivi et d’évaluation du PSEF;
- du cadre partenarial qui organise le dialogue entre le gouvernement et les PTF de l’enseignement de base;
- de la mission conjointe de suivi qui réalise un suivi approfondi de l’évolution du secteur éducatif de base et secondaire et formule des recommandations et orientations pour une mise en œuvre efficiente du plan d’actions de l’année en cours.
Dernières nouvelles
BURKINA FASO - Rapport de la mission conjointe de LuxDev et du ST-ESU dans la région du Centre-Nord (ville de Kaya)
Le mercredi 15 juin 2022, une mission conjointe du Secrétariat technique de l’éducation en situation d’urgence (ST-ESU) et de LuxDev, l’agence luxembourgeoise pour la Coopération au développement, s’est rendue à Kaya, dans la province du Sanmatenga (région du Centre-Nord).
L’objectif principal de cette mission était de recenser les initiatives développées pour résorber les difficultés auxquelles est confronté le système éducatif à la suite de la crise sécuritaire et de mesurer l’impact des ressources allouées par les partenaires techniques et financiers pour y répondre.
Rencontre avec le directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non formelle
À l’arrivée à Kaya, et conformément à l’agenda établi, la mission a d’abord rendu visite au directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non formelle du Centre-Nord, Monsieur Moumini OUEDRAOGO.
Après une brève présentation des membres de la mission, le directeur provincial a, au nom de Monsieur le directeur régional, absent, souhaité la bienvenue à la délégation et à son directeur général, Monsieur Gaston SCHWARTZ.
Après avoir fait le point sur les interventions et réalisations des partenaires, la mission a voulu en savoir plus sur certains points à travers les questions suivantes :
- le nombre d’élèves déplacés internes dans la province ;
- le nombre global d’élèves dans la province avant la crise ;
- les éventuels sites de construction de classes complémentaires ;
- la gestion des enseignants traumatisés par les exactions terroristes ;
- l’efficacité des ONG/associations de développement dans la province.
Visite de l’école de Koulgrin Louda
La délégation, renforcée par l’équipe de la direction provinciale, a mis le cap sur le site de l’école de Koulgrin Louda E, dans la circonscription d’éducation de base de Kaya.
La délégation a été accueillie par Monsieur Souleiman SORE, Chef de circonscription d’éducation de base de Kaya. À ses côtés se trouvaient le directeur de l’école, l’équipe enseignante, l’association des pères des élèves, l’association des mères des élèves et de nombreux élèves, malgré la fin des activités d’enseignement.
Monsieur Julien SAWADOGO, directeur de l’école de Koulgrin Louda, a pris la parole afin de présenter sommairement sa structure, en termes de personnel, d’effectif des élèves, des acquis et des difficultés rencontrées. L’absence d’une clôture, l’unique forage pour tout le bloc scolaire qui compte trois écoles de six classes chacune et le fonctionnement discontinu de la cantine constituent les principales difficultés relevées par Monsieur SAWADOGO.
Il faut noter que l’école de Koulgrin Louda présente un effectif de 479 élèves, dont 140 élèves déplacés internes pour l’année scolaire en cours.
Élèves déplacés internes © LuxDev | Drissa Minougou
À la suite du directeur de l’école, les représentants des bureaux de l’association des parents d’élèves ont exprimé leur gratitude vis-à-vis de tous les partenaires qui œuvrent quotidiennement pour le fonctionnement de leur école. Ils ont également félicité le corps enseignant pour son abnégation dans le travail quotidien. Pour finir, ils ont traduit en doléances l’ensemble des difficultés énumérées par le directeur de l’école, à savoir :
- la réalisation d’une clôture pour l’école ;
- la mise en place d’un second point d’eau ;
- la dotation en vivres durant toute l’année scolaire, avec l’octroi de ration sèche aux élèves déplacés internes.
Pour clore la série d’entretiens, le personnel enseignant a été reçu par la mission. Les enseignants ont insisté sur les difficultés d’intégration des élèves déplacés internes qui, le plus souvent, sont stigmatisés par les élèves hôtes. Ils ont aussi signalé le niveau un peu faible de certains élèves déplacés internes ainsi que le fonctionnement intermittent de la cantine scolaire, qui constitue un handicap majeur pour le bon déroulement des cours.
À la suite de cette visite, on ne peut que constater les difficultés auxquelles les élèves sont confrontés. Les salles de classes sont surchargées car les effectifs ont presque triplé. De plus, les vivres pour la cantine ne suffisent plus à nourrir correctement tous les élèves et le sureffectif risque de nuire aux conditions d’apprentissage. C’est pourquoi la Coopération luxembourgeoise doit continuer à poursuivre/maintenir ses efforts dans le secteur de l’éducation et de l’employabilité des jeunes, et plus particulièrement dans l’éducation en situation d’urgence dans les zones à fort défi sécuritaire.
À l’issue de chaque entretien, les membres de la mission, chacun en fonction de sa spécialité et de son expérience, ont prodigué des conseils aux acteurs de l’école visitée.
Passage chez TECO2
Sur le chemin de retour, la délégation a fait un arrêt dans les locaux TECO2 de la commune rurale de Saaba. TECO2 est une entreprise spécialisée dans la fabrication de tables-bancs écologiques.
L’objectif de cette visite était de s’enquérir des conditions et du rythme de production des tables-bancs, en vue d’une commande au profit des écoles de repli des élèves déplacés internes. La mission a porté un intérêt particulier au travail accompli par cette jeune structure.
Des besoins urgents
De façon générale, la mission s’est bien déroulée dans le chef-lieu de la région du Centre-Nord et l’objectif qui lui était assigné est atteint. En effet, cette mission a permis de toucher du doigt la réalité du terrain et, surtout, d’identifier les besoins pressants de la communauté éducative (salles de classe amovibles, tables-bancs, fournitures scolaires, vivres pour la cantine scolaire).
Nous retenons de cette mission que la situation des élèves déplacés internes dans la ville de Kaya est à suivre de près et que les écoles hôtes ont besoin d‘un accompagnement pour une prise en charge intégrale des élèves.
Salle de classe © LuxDev | Drissa Minougou
Le programme d’appui au plan sectoriel de l’éducation et de la formation - BKF/025 est financé par le Grand-Duché de Luxembourg et le Burkina Faso et mis en œuvre par LuxDev, l’agence luxembourgeoise pour la Coopération au développement.
BURKINA FASO - Les Partenaires techniques et financiers mutualisent leurs ressources avec 28.3 MEUR pour booster la formation professionnelle
Le lundi 21 octobre 2019 a eu lieu à Ouagadougou la cérémonie de signature du protocole bilatéral et du protocole de financement commun de l’appui conjoint des Partenaires techniques et financiers à la mise en œuvre de la politique sectorielle d’enseignement et de formation techniques et professionnels (EFTP) au Burkina Faso.
Suite à un précédent appui au secteur de la formation professionnelle, mis en œuvre de 2012 à 2018, cinq Partenaires techniques et financiers à savoir, le Luxembourg, l’Agence française de Développement, l’Autriche, la Suisse, et la Principauté de Monaco, se sont engagés dans un nouveau programme pour soutenir la formation professionnelle au Burkina Faso.
Ces cinq Partenaires s’engagent à mobiliser la somme de 28.3 MEUR sur la période 2019-2024, pour booster la formation professionnelle au Burkina Faso. La contribution du Luxembourg à ce nouvel appui est de 13 MEUR. Le gouvernement burkinabè contribuera pour sa part avec 13.7 MEUR.
L’objectif visé par l’appui consiste à améliorer l’accès à l’enseignement et la formation techniques et professionnels, en améliorant la qualité et en renforçant son pilotage.
Les grandes orientations du programme portent sur :
- la réalisation d’actions de formation qualifiante et certifiante, à forte employabilité et plutôt de courte durée ;
- l’appui à la décentralisation fonctionnelle et territoriale de la formation professionnelle ; et
- le développement des partenariats avec le secteur privé.
Les différents acteurs impliqués vont ainsi bénéficier d’importants appuis en matière de renforcement des capacités.
La cérémonie de signature, présidée par Mme Paulette Lenert, Ministre de la Coopération et de l’Action humanitaire du Luxembourg, et M. Lassané Kaboré, Ministre des Finances du Burkina a également bénéficié de la participation de nombreuses personnalités dont le Ministre burkinabè en charge de la formation professionnelle, l’Ambassadeur du Grand-Duché de Luxembourg au Burkina Faso, le Directeur général de LuxDev, l’Agence luxembourgeoise pour la Coopération au développement ainsi que les chefs des Coopérations ou d’agences autrichienne, la française et Suisse.
BURKINA FASO - L’alphabétisation dans l’univers carcéral : une contribution à la réintégration des détenus dans la société
A la faveur d’un projet de développement financé par les Gouvernements du Grand-Duché de Luxembourg et du Burkina Faso à l’Ouest du Burkina Faso, la requête d’un opérateur en alphabétisation (association) a été agréée pour l’ouverture d’un centre d’alphabétisation de fortune dans une maison d’arrêt et de correction communément appelée prison civile. Ce centre a accueilli une trentaine de détenus pour des sessions d’alphabétisation. Ces sessions ont été consacrées à l'apprentissage de la lecture, de l'écriture et au calcul en langue nationale dioula ainsi qu’à la reconnaissance d'images représentant les principaux éléments intervenant dans la gestion d’une exploitation agricole. A ces images sont ensuite associés des mots que les participants apprennent à reconnaître et à employer pour le remplissage des documents de gestion (fiche de stock, fiche de prévision, …). Les sessions ont été dispensées suivant une approche pédagogique active axée sur des méthodes participatives qui font de l'apprenant à la fois l'acteur et le bénéficiaire de la formation avec pour objectif de lui permettre de gérer une petite exploitation agricole.
Au terme de cet apprentissage, les apprenants ont pu se familiariser avec les unités de mesures (mètre, mètre carré, poids), effectuer des exercices pratiques d'utilisation du mètre ruban et de la bascule et apprendre également à utiliser la calculatrice. Les exercices pratiques ont été consacrés au maraichage et ont été conduits sur des lopins de terre à l’intérieur de la prison. Les récoltes issues de ces parcelles de démonstrations ont été utilisées pour améliorer l’alimentation des détenus et des montants symboliques remis à chaque apprenant.
Ces sessions ont connu une grande réussite : il n’y a eu aucune déperdition. Cette situation s’explique par le fait que le centre d’alphabétisation représentait pour les détenus le seul espace de liberté et ce au regard de leurs dures conditions de détention. En plus de cela, l’apprentissage à travers l’alphabétisation fonctionnelle leur a permis d’acquérir des compétences et de préparer leur retour à une vie normale. Parmi ces détenus, il y avait un jeune homme prénommé Kalo, âgé de 20 ans qui, a sa sortie de prison, a pu s’installer à la périphérie de la ville pour y produire et vendre ses produits maraîchers. Pour lui, la prison lui a permis d’apprendre à lire, écrire et calculer et à produire ; cela lui a permis de réintégrer la société qui lui porte un autre regard. Selon Kalo, si un jour il devait retourner en prison, ce ne sera pas comme détenu, mais, pour aider les autres à s’en sortir. Cette expérience montre la nécessité de mettre l’accent sur la dimension fonctionnelle de l’alphabétisation qui dans ce cas-ci a contribué à humaniser ce lieu de détention pour en faire un espace de liberté, d’apprentissage, de reconversion et de réintégration dans la société. L’alphabétisation peut être une source inductrice de compétences et de dynamiques de transformations porteuses de renouveaux socioéconomiques et de développement local. Des Kalo, il en existe par milliers, il faut juste leur donner leur chance.
Signature des deux premiers protocoles d’accord du 3e Programme indicatif de coopération entre le Burkina Faso et le Grand-Duché de Luxembourg
Les deux premiers protocoles d’accord relatifs à des appuis du 3e Programme indicatif de coopération ont été signés, à Luxembourg, le 4 mai 2018 à l’occasion de la 10e Commission de partenariat entre le Burkina Faso et le Grand-Duché de Luxembourg.
Il s’agit des protocoles des projets BKF/024 « Récupération et valorisation des espaces pastoraux » et BKF/025 « Appui au plan sectoriel de l’éducation et de la formation, 2017-2030 ».
Dans la continuité des appuis du 2e Programme indicatif de coopération, le projet BKF/024 vise principalement la restauration et la sécurisation, via l'élaboration de 15 chartes foncières, de 10 800 hectares (ha) d'espaces pastoraux venant s'ajouter aux 8 500 ha de la phase antérieure, le balisage de 60 kilomètres de pistes à bétail et aires de repos, la création de 10 points d'eau, la valorisation des sites restaurés par la fauche et la conservation du foin, le développement d'activités génératrices de revenus liées au petit élevage et à la vente de crédits carbone.
Le projet interviendra dans sept provinces des régions du Sahel, du Nord et du Centre Nord, sur un total de 22 communes. Les bénéficiaires directs sont les éleveurs et agropasteurs, les populations ayant droit à des espaces pastoraux restaurés, avec une attention particulière pour les femmes, les jeunes et les personnes pauvres, les collectivités territoriales et leurs commissions foncières, le ministère des Ressources animales et halieutiques et le ministère de l’Environnement, de l’Économie verte et du Changement climatique, les ONG et associations de développement contractualisées.
D’une durée de 42 mois (juillet 2018 à décembre 2021), le projet bénéficiera d’un appui luxembourgeois de 5 000 000 EUR sur un coût total de 5 349 510 EUR.
Le BKF/025 concernera la poursuite des appuis luxembourgeois au ministère de l’Éducation nationale et de l’Alphabétisation. Le cadre logique et les objectifs de cet appui sont alignés sur ceux du plan sectoriel de l’éducation et de la formation. L’appui est articulé autour de deux composantes, à savoir :
- une contribution au compte d’affectation spéciale du trésor (CAST) qui vise à appuyer la mise en œuvre des plans d’actions annuels du ministère de l’Éducation nationale et de l’Alphabétisation sur base des politiques et orientations stratégiques de son plan sectoriel.
- un appui à travers les technologies de l’information et de la communication pour renforcer les capacités de gestion des ressources humaines du ministère de l’Éducation et pour améliorer le suivi de l’évolution du cursus scolaire de chaque élève. Ce dernier point contribuera également à l’amélioration de la qualité des statistiques scolaires.
La contribution luxembourgeoise sera de 7 000 000 EUR sur une période de 36 mois de juillet 2018 à décembre 2020.