Information
Ce projet est clôturé depuis le 31.12.2016.
- Pays
- Burkina Faso
- Bureau pays de LuxDev
- Bureau Burkina Faso
- Agence d'exécution partenaire
- Ministère de l’Education nationale et de
l’Alphabétisation - PIC 2
- 2008 - 2015
- Période d'exécution
- 9 Décembre 2013 - 31 Décembre 2016
- Durée totale
- 37 mois
- Budget total
- 666 650 000 EUR
- Répartition des contributions
-
- Gouvernement luxembourgeois
15 000 000 EUR - Plusieurs bailleurs alimenteront le Compte d’Affectation du Trésor (CAST), dont la France, le Canada, le Danemark, la Suisse, le Fonds des Nations unies pour l’Enfance (UNICEF), et le Partenariat mondial pour l’Education (PME)
651 650 000 EUR
Le Burkina Faso s’est engagé depuis plus de 10 ans dans un effort pour faire accéder la majorité de la population à l’éducation de base, formelle et non formelle à travers deux plans nationaux successifs dont le Programme de développement stratégique de l’éducation de base (PDSEB) qui couvre la période 2012-2021.
Le programme BKF/022 intervient directement dans ce cadre et comprend deux composantes :
- une contribution directe au fonds de soutien au développement de l’éducation de base, par le biais de versements au Compte d’affectation spéciale au trésor (CAST) ouvert auprès de la Banque centrale des États d’Afrique de l’Ouest (BCEAO). La France via l’Agence française de développement (AFD), le Canada, le Danemark, la Suisse et le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF) ainsi qu’un financement du Partenariat mondial pour l’éducation (PME) contribuent également au CAST ;
- un appui au Plan stratégique de renforcement des capacités (PSRC) du ministère de l’Éducation nationale et de l’Alphabétisation (MENA) qui comprend la mise à disposition d’un facilitateur rattaché au secrétariat général du MENA assurant la coordination de la mise en œuvre du plan stratégique. En plus du facilitateur, le programme fournit un soutien spécifique dans les domaines de l’alphabétisation et de l’éducation non formelle d’une part, et de la gouvernance et de la décentralisation d’autre part.